5 janvier 2010
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Que l'on ne vienne pas me dire que la charmante bourgade de Roquebrune-Cap-Martin (commune où je réside, limitrophe de Menton) est un trou perdu où la vie s'écoule paisiblement au milieu des ptits vieux arthritiques (j'en connais un personnellement... 
), où il ne se passe jamais rien ! Pour ceux qui auraient raté l'info importante, allez jeter un œil à cet article. Or, donc, un déséquilibré a tué un sexagénaire à coups de poignard. L'effroi s'est emparé de notre chère petite ville. D'autant plus que ce détraqué mental n'en était pas à ses premières œuvres... Interné dans un établissement psychiatrique, il était autorisé à sortir, son devoir étant simplement de le signaler... Mouais... Parfois, je me demande si les détraqués du bulbe dans ces établissements ne sont pas les mecs en blouse blanche...
"Alors mon grand, tu as le droit d'aller te promener mais il faut nous le dire avant, hein. Tu seras bien sage, pas vrai ? -Oui monsieur. Je peux prendre ma machette avec moi ? -Oui, mais fais attention de ne pas te blesser..."
Mais bon, sa mère a déclaré ce matin dans le journal que ce n'était pas au monsieur décédé qu'il en voulait mais à l'appartement. "C'était l'appartement, son ennemi !" (sic). Ouf ! Nous voilà bien soulagé ! Merci Madame de cette précision qui apporte un éclairage nouveau sur ce fait divers sanglant, qui saura sans nul doute apporter du baume au cœur de la famille de ce monsieur et qui ne m'inspire qu'une seule réflexion -que je me fais d'ailleurs souvent à moi-même : "Tiens, t'as perdu une occasion de fermer ta gueule !". Fin.
), où il ne se passe jamais rien ! Pour ceux qui auraient raté l'info importante, allez jeter un œil à cet article. Or, donc, un déséquilibré a tué un sexagénaire à coups de poignard. L'effroi s'est emparé de notre chère petite ville. D'autant plus que ce détraqué mental n'en était pas à ses premières œuvres... Interné dans un établissement psychiatrique, il était autorisé à sortir, son devoir étant simplement de le signaler... Mouais... Parfois, je me demande si les détraqués du bulbe dans ces établissements ne sont pas les mecs en blouse blanche..."Alors mon grand, tu as le droit d'aller te promener mais il faut nous le dire avant, hein. Tu seras bien sage, pas vrai ? -Oui monsieur. Je peux prendre ma machette avec moi ? -Oui, mais fais attention de ne pas te blesser..."
Mais bon, sa mère a déclaré ce matin dans le journal que ce n'était pas au monsieur décédé qu'il en voulait mais à l'appartement. "C'était l'appartement, son ennemi !" (sic). Ouf ! Nous voilà bien soulagé ! Merci Madame de cette précision qui apporte un éclairage nouveau sur ce fait divers sanglant, qui saura sans nul doute apporter du baume au cœur de la famille de ce monsieur et qui ne m'inspire qu'une seule réflexion -que je me fais d'ailleurs souvent à moi-même : "Tiens, t'as perdu une occasion de fermer ta gueule !". Fin.
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